chienneroxie

En ce mercredi, je prends possession de la chambre d’hôtel réservé la veille. J’ai maintenant deux heures devant moi pour me préparée à être une parfaite soumise ou toute autre chose pour Mon Maître.

Aucune gène a cela, ceci étant librement consenti.

Mon Maître est doux et calme, je n’ai aucune appréhension à m’offrir à lui, bien au contraire, je suis persuadée qu’il sera me faire franchir des barrières.

Quelques consignes mon été transmises. Consigne que je m’applique évidement à respecter….

Première consigne :

Je dépose sur le bureau « mes jouets » :

- Un collier et une laisse, pour la soumise que je suis

- Un bâillon boule et des bracelets chevilles, pour le jouet que je suis

- Un rosebud, pour la salope que je suis

- Une écuelle, pour la chienne que je suis (offerte par Mon Maître)

Deuxième consigne :

 Apres une douche, fardée, gainée et chaussée comme une pute, je me dois d’attendre agenouillée dos à la porte Mon Maître.

………….

La porte franchi, Mon Maître me  salua, moi sa chienne en me passant mon collier autour du cou, puis il se déshabillas jetant ses vêtement a travers la chambre et alla prendre sa douche.

Ma mission (troisième consigne) étant de ranger ces vêtements correctement, ce que en bonne soubrette je fis et de reprendre ma position agenouillée.

Au sorti de la salle de bain, Mon Maître me fis mettre à quatre pattes sur le lit, la croupe bien haute et me doigta copieusement le cul.

 Ce soir, Mon Maître voulais ce détendre, il me  voulais catain.

 Ma soirée fut alors consacrée à le sucer, le caresser, le mettre en émois, l’apaiser.

 Roxie ce devais d’être objet de soulagement pour son Maître, rôle que je m’appliqua à effectuée et don je tiens à remercier Mon Maitre d’avoir  fait de moi cette pute soumise sexuellement.

  Entre deux fellations, Mon Maître souhaitait tout de même voir mes progrès concernant ma démarche percher sur mes hauts talons. Il en était satisfait, j’étais soulagée. Il me fit reprendre mes bons offices.

Ma langue toujours aussi baladeuse parcourais le sexe de Mon Maître suivant les courbes de son gland qui se durcisais.

J’étais heureuse de le suçoter du bout des lèvres puis de prendre à pleine bouche le sexe de mon Maître, le laissant s’enfoncer au fond de ma gorge.

 Je me sentais à ma place durant ce corps à corps avec sa votre queue.

 Comme vous le disiez vous-même, Maître, j’étais une bonne salope.

 Il faut dire qu’il est bon de sentir grossir dans sa bouche le désir de son Maître.

 La pute du soir que j’étais, pour votre plaisir ne vous empêchas pas Mon Maître d’effectuer toute foi un petit exercice pratique.

Mon Maître ce voyait très bien ce faire sucer un verre de chardonnay en main.

 Pour ce faire il me fit servir celui-ci dans les règles de l’art en bonne soumise, à genoux, bras tendu, droite, tête base.

Merci également pour cette « fessée » lorsque par maladresse j’ai renversée le verre en le débarrassant. Je conçois devoir être plus adroite et parfaite.

 Merci Maître pour cet apprentissage.

Apres cette séance de dressage, nouveau moment de détente pour Mon Maître. Je repris mes bonnes fonctions de putin et pompa la verge de Mon Maître. J’aime que ma bouche devienne un écrin naturel et confortable pour Mon Maître. Parfois il aimait à me pilonner la bouche et je me retrouvais la gueule soudée à son bas ventre ingurgitant sa trompe comme si je la dévorais. Certes la situation n’étais pas toujours confortable pour moi, mais j’avais plaisir à assumer mon rôle, Mon Maître restant toujours très tendre.

Mon Maître étant bien dur, il me fit mettre en levrette sur le lit , ses mains m’enserrais les hanches tandis que son sexe cherchais son chemin entre mes fesses.

Oh ! Oui, Maître, j’étais investis, j’étais votre !

Je vous sentais turgescent, immense en mon ventre. Vous me baissier, me fouraillait, Je vous recevais profondément entre mes cuisses pleines de passion, mes jambes chancelant sous vos coups de buttoir.

Liée étroitement à vous, je me sentais plus que jamais soumise à votre pouvoir et votre virilité, vos mains solidement arrimées à mes hanches, imprimant la cadence de votre pénétration. J’étais votre chose, votre vide-couilles, pilonnée par votre bite. Dans un râle dominateur vous avez décharger dans mon cul, vous etes rester un moment avec votre queue en moi, votre corps sur moi de tout son long. J’ai aimé être le réceptacle de votre jouissance

Mon trou de sodome dilaté, je vous est remercié pour cette soirée………….